The Last Waltz Ch. 02

Je sens la porte qui se ferme, je reste seul dans mes agonies sans fin. Je ne pense à rien du tout, juste à survivre. Je me laisserais bien aller, mais je crois que mes souffrances seraient encore pires. Comment peut Elle me faire autant souffrir ainsi. Ce n'est pas cela que je voulais, c'est bien trop terrible, personne ne peut supporter. Elle m'avait bien dit que je regretterai. Elle avait raison. Je dois aller au bout de ces trois jours et après basta. Cela m'aura coûté un bras, mais au moins je sais.
Je suis un zombie, je ne sens même pas Sa présence à mes côtés. Est-ce que je suis endormi tout en marchant? Cela me semble plausible. Je reviens à la réalité avec plusieurs coups de badines assénés sur mon pauvre sexe déjà blessé, m'arrachant des cris étouffés dans mon bâillon. Chaque coup tire durement sur mon prépuce déjà mis à mal. Je prends conscience de toutes ces douleurs, avec mes pieds en plus qui me brûlent. Je ne sens plus le bas de mon corps, je me demande si le plug n'a pas coupé la circulation et que mon cul va se nécroser. A ce stade la seule chose qui m'importe c'est de m'allonger et dormir. Ce n'est hélas pas le programme.
Déesse est ravie de son cadeau, elle a sillonné Paris vide en ce week-end de vacances, et me dit avoir pris en retour un petit cadeau pour moi. Deux cadenas, qui ont la particularité d'être en acier chirurgical. Elle me dit avoir longuement hésité, mais que finalement Elle a pensé que les 4 mm d'épaisseur m'iraient mieux que les 3.2! Elle va me percer directement avec du 4 mm? J'aurais du me douter que mes tétons préservés jusqu'à maintenant étaient une anomalie, surtout qu'ils sont très gros, suite à de mauvais traitements répétés depuis des années. C'est ma zone érogène la plus forte, même avant mon sexe, c'est dire!
Enfin le tapis s'arrête. Je suis hébété de douleur. Mes mains restent accrochées au plafond, mais le bâillon m'est retiré. Non sans mal, je hurle de souffrance, je crains tellement que ma mâchoire se décroche. Heureusement ce n'est pas le cas, mais je sanglote de souffrance. Je n'arrive pas du tout à fermer la bouche, la position sans le bâillon me semble toute aussi douloureuse, c'est étrange.
Le n?ud de mon prépuce est enlevé, tout comme les poids horribles sur mes couilles. La sensation d'allègement est dingue, je suis presque euphorique. J'en oublie le monstre en moi qui lui ne semble pas devoir sortir. Mais déjà j'arrive à respirer. Je pends par les mains, je n'en peux tout simplement plus. J'apprends qu'Elle a décidé de me percer là, comme cela, dans cette position. Que puis-je dire? Rien car je ne peux pas parler. Et rien car Elle m'installe à la base du sexe un collier à pointe muni d'un boîtier par-dessus. Les pointes ne sont pas très douloureuses. Jusqu'à ce qu'Elle appuie sur une télécommande et je reçois un courant électrique dans tout le sexe. Je hurle, la brûlure est terrible, mes jambes ne me soutiennent plus. C'était la fréquence basse! Elle peut ainsi me torturer et me contrôler à loisir.
Par jeu je pense, Elle parcourt toute la maison, en appuyant sur le bouton pour mesurer la portée. A chaque fois mes cris et hurlements la renseignent. Elle sort même dans la cour, les cris sont étouffés mais bien réel. Elle est radieuse. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle m'apprend qu'Elle n'a jamais fait cela, que tout le monde lui a déconseillé, et qu'évidemment cela la motive. Je vais souffrir bien plus que chez un professionnel, ce serait tellement ennuyeux alors qu'une grande partie du plaisir est justement ma souffrance. Et si cela s'infecte et bien tant pis, cela ne Lui fait ni chaud ni froid.
Je sais trop la souffrance que c'est, ayant souvent eu des aiguilles dans les tétons, parfois de grosses mais jamais 4 mm. Elle va me découper une rondelle de chair avec cela. Un rapide coup d'alcool, la pince serre mon téton de façon très douloureuse. Elle la bloque, et fait de même avec l'autre. Elle aurait pu attendre, mais cela l'excite clairement de me voir souffrir ainsi. Toutes les souffrances sont bonnes à prendre! Elle approche l'aiguille du centre de la pince, la peau boursoufle à cet endroit. Elle applique doucement, mais l'aiguille est grosse et ne rentre pas. Il lui faut appuyer très fort. Cela me brûle, je flanche sur mes jambes, je hurle encore, ma voix est déjà bien éraillée. Elle doit appuyer longtemps, je sens le parcourt de l'aiguille, la tension qu'elle met est vraiment forte, Escort Bahçeşehir elle avance par saccade, la chair cède peu à peu. Enfin le bout de l'aiguille commence à ressortir, la souffrance n'est pas plus supportable mais moins forte quand même. Je réalise que je n'ai pas respiré pendant tout le piercing. Elle est très concentrée, fait coulisser le cadenas et le referme avec une énorme satisfaction. Son regard est brillant, Elle se caresse sous sa robe, moi je tremble d'émotion. Je suis excité de la voir se caresser, c'est torride. D'une certain façon c'est moi qui lui donne du plaisir.
Une fois le second téton percé de la même manière, mais un peu plus vite, je sens le poids des cadenas et surtout la plaie de mes tétons. Dans une glace je vois le résultat, mais je suis surtout fasciné par toutes les marques que je porte. Et par la base du plug qui écarte mes fesses. J'adore cette vision, c'est celle-là que je désirais, sans pouvoir rien contrôler. Non finalement à cet instant je ne regrette pas, et je me dis que j'ai bien tenu, je suis fier de moi. J'oublie juste combien j'ai sangloté et regretté sur le moment.
Déesse me détache les mains et je dois descendre à 4 pattes jusqu'au salon, où Elle doit me préparer pour la soirée. Je réalise que le jour est déjà tombé, mais je ne sais pas quel jour nous sommes, mes idées ne sont pas cohérentes. La marche à 4 pattes fait un peu coulisser le plug en moi, provoquant un léger plaisir et faisant baisser la tension.
La sonnette de la porte d'entrée retentit! Cela ne semble pas surprendre Déesse qui se lève et va ouvrir. J'espère que ce n'est pas un voisin importuné par mes cris. Cela semble une connaissance de Déesse. Elles s'embrassent longuement dans l'entrée, avant que Déesse ne la fasse rentrer. L'inconnue est une Femme de 50 ans environ, que je trouve attirante. Rousse aux yeux verts, elle a des seins qui semblent gigantesques et flasques, et un corps bien rond. Sa robe rebondit curieusement sur ses fesses. Ses talons hauts lui donne une allure très classe. Mais la façon qu'elle a de regarder Déesse me fait comprendre que leur relation n'est pas seulement affective.
- Bonjour Maîtresse comment vas-tu?
- Bonjour ma belle chienne, je vais très bien, très heureuse de te voir. Et toi?
- Toujours ravie de te voir ma Maîtresse chérie, mais un peu honteuse quand même.
- Un peu seulement?
- Non Maîtresse, très honteuse!
- A la bonne heure, j'aurais été déçue.
- Et qui est ce gros porc attaché sur la table?
- Oh lui? Un gros porc comme tu dis. De ceux que nous gerbons et qui t'ont faite tant souffrir.
- Et qu'est ce qu'il fait là Maîtresse?
- D'abord il est chez lui. Enfin pour l'instant. Ensuite il est là pour expier de toutes ses fautes.
- Tu l'as kidnappé?
- Rires! Non il est venu de lui-même quémander que je le punisse et que je le brise. Tu imagines? Et évidemment en payant très cher mes services.
- Je n'aurais pas besoin d'être payée pour me faire des salopards comme cela!
- Mais c'est mieux en l'étant surtout très cher. Et surtout c'est open bar. Il n'y a ni limite ni tabou pendant 3 jours.
- Aucune limite? Ceci dit quand je vois dans quel état il est, tu l'as déjà sacrément dérouillé. Et je rêve ou c'est ton monstre qu'il a dans le cul?
- Non tu ne rêves pas, cela fait 6 heures maintenant!
- Oh merde alors! Tu n'as pas peur de ne pas arriver à l'enlever?
- Je n'y ai pas pensé à vrai dire. Mais aussi ce n'est pas mon souci, il se débrouillera si je n'arrive pas à l'enlever. Tu imagines la honte ultime à l'hôpital!
- Tu es la plus perverse que je connaisse, il ne sait pas qui il a choisi!
- Je pense qu'il commence à comprendre.
- Et tu peux tout faire sur lui?
- Oui, et toi aussi. Tu aurais envie de quoi?
- Là dans cette position? Lui clouer le sexe et les couilles.
- Oh c'est gentil et mignon comme envie.
- Oh non Maîtresse, pas la peau des couilles ou du sexe. Mais le sexe lui-même et les couilles elles-mêmes.
- Intéressant, j'aime beaucoup. Il n'y a pas de raison de ne pas le faire alors!
- Vraiment? mmmhhh cela m'excite.
- Relève ta robe, que je vois si ta couche est bien pleine? En tous cas tu sens vraiment mauvais.
- Oui Maîtresse dans le métro j'étais tellement gênée. La couche est si pleine que mon dernier pipi a débordé Bahçeşehir Escort Bayan sur mes cuisses jusqu'à par terre.
- Mmmhhh très excitant. Et tu as bien pris les laxatifs?
- Oui Maîtresse, je crois que tu vas être contente. Mais je comprends mieux ton désir que je la garde depuis hier soir. Je me suis masturbée plusieurs fois avec, c'est tellement humiliant!²
Je découvre halluciné la couche énorme que porte sa soumise. Déesse me la présente comme étant Isabelle, et qu'Elles vont toutes les deux s'occuper de moi. Isabelle enlève sa couche qui est gonflée d'urine et maculée de ses crottes humides. Sur l'ordre de Déesse, elle me colle toute la couche sur la tête et la scotche pour qu'elle ne bouge pas. J'ai le visage rempli de sa merde, et je peine à respirer. Déesse me donne l'ordre de nettoyer la couche qu'Elle veut sans aucune trace. Je suis épuisé, je suis dans une position tellement inconfortable, attaché à genoux sur la table du salon, les anneaux des tétons étirés vers le bas. Je pleure silencieusement dans ma couche, tandis qu'Isabelle va prendre une douche pour se nettoyer. Je sens la main de Déesse prendre mon sexe et mes couilles pour bien les tirer vers l'arrière, les dégager. Je frémis de désespoir. Cette fois c'est la fin, je ne vais pas survivre à cette barbarie.
J'entends les deux femmes se caresser et se faire jouir pendant des heures. Déesse indique à sa soumise qu'elle jouera demain avec moi, là j'ai ma position pour la nuit! Elle vient vérifier que la couche est propre et semble satisfaite. Elle me sourit comme jamais, et me dit qu'Elle avait un troisième cadeau pour moi et voulait que ce soit Isabelle qui me l'offre. Je découvre un troisième cadenas, et je continue de sangloter. Déesse tire mes cheveux très fort vers l'arrière. Isabelle prend l'aiguille et sans hésiter traverse ma cloison nasale d'un seul coup. Les larmes sont incontrôlables et déjà le cadenas se referme sur mon nez ainsi annelé. Déesse attache une fine cordelette au cadenas et tire celui-ci en arrière pour m'obliger à baisser la tête au maximum. Je ne peux plus bouger un millimètre et je ne réagis même pas quand les deux femmes montent et me laissent là pour la nuit. J'ai maintenant très peur des clous bien entendu, mais aussi de ce corps métallique en moi qui pourrait ne pas ressortir. Est-ce vraiment possible. Jamais je ne me suis senti si seul et désespéré. Je voudrais pleurer mais je n'en ai plus la force. Je sens mon esprit sombrer.
« Vas prendre une bonne douche chaude et reviens vers moi dans ma chambre. »
Déesse a clôturé les 3 jours de supplice il y a quelques minutes, je suis libre de toutes entraves ou presque. Les cadenas sont bien en place, comme toutes mes marques. Je ne sais même pas si je suis soulagé, en tout cas d'avoir le cul vidé, c'est certain. Il a fallu plus d'une heure à Maîtresse Isabelle pour pouvoir le lubrifier pour le retirer sans tout arracher. La sensation a été indescriptible de le sentir glisser hors de moi, comme si elle m'ôtait un os. Ou plutôt ma colonne vertébrale. Je me sens terriblement nu et à vrai dire complètement perdu. La perspective de cette douche chaude me paraît un mirage.
Dans la salle de bain je mets quelques secondes avant de lever un regard sur mon image. Terrifiante comme je le craignais. N'est-ce pas ce que j'attendais? Ou plutôt n'espérais plus? Mon crâne rasé est parcouru de cutting sanguinolant, formant une sorte de quadrillage. Isabelle a beaucoup aimé me couper ainsi à la lame de rasoir. Mes yeux sont creusés et épouvantable, je n'ai pas vraiment dormi depuis trois jours. J'aurais aimé me raser mais impossible avec les branding que Déesse m'a appliqué sur les joues et les narines. Ses initiales profondément incrustées et qui resteront sans aucun doute visible puisqu'elles font 1 cm de large sur les joues et ont été longuement creusés. Avec le cadenas qui pend de mon nez, et l'inscription ESCLAVE en rouge carmin en tatouage sur sur mon front, je sors tout droit d'un film de science-fiction. C'est vrai que Déesse a réalisé certaines choses qu'Elle m'avait prédite. Et surtout beaucoup d'autres.
Mais quelle idée m'a pris? Me voici après trois jours définitivement marqué et dans une posture vraiment compliquée. Sans parler de mon cul qui à mon sens est totalement détruit. A l'instar de mes couilles qui ont permis à Isabelle de vivre et d'expulser toute sa rage, et Bahçeşehir Escort pas qu'une seule fois. Elles sont noires, de la taille d'une balle de tennis et en harmonie avec mon sexe qui ne ressemble plus à rien. Je voulais aller trop loin, c'est gagné. Pas tout à fait quand même. Je le sais bien, je n'ai pas atteint mon but et je savais qu'en trois jours c'était impossible.
L'eau chaude brûle tout mon corps, il faut du temps que la sensation s'apaise. Pas de cheveux à nettoyer, et hors de question de toucher une quelconque partie de mon corps. Ce n'est qu'une plaie sachant que je n'ai pas arrêté d'être battu, puis d'être coupé ensuite pour faire couler mon sang. Déesse est perverse mais Maîtresse Isabelle ne connaît aucune limite.
Lorsqu'enfin je reviens à 4 pattes dans ce qui était ma chambre, Déesse est allongée sur le lit. Elle m'autorise à Lui parler et à La regarder. Je lève ma tête stupéfait de la voir nue ou presque, juste couverte d'une courte nuisette blanche, absolument magnifique. Son corps est musclé, sa peau douce et satinée, son ventre plat comme la main et ses seins... Tendres, accueillants, mon regard reste fasciné dessus. Je suis profondément émerveillé. Déesse se redresse et me fait signe de prendre place à Ses côtés. Elle saisit ma tête et la pose entre Ses seins, et me commande de me laisser aller. Sans que je ne comprenne pourquoi, je me mets à pleurer toutes les larmes de mon corps. Mes mains caresse un sein, et je sens, sidéré, mon sexe prendre vie. Dans des souffrances indicibles, mais j'ai terriblement envie de Déesse.
Elle prend ma tête, m'embrasse, me caresse doucement, fait quelques allers et retours sur mon sexe si douloureux, puis écarte les jambes et me guide en Elle. Je La regarde avec adoration, cela La fait rire, et je me glisse en Elle dans un bonheur ineffable. Je suis concentré sur Son plaisir, mais c'est le mien qu'Elle veut. Elle tire mes cadenas de tétons, fortement mais sans violence. Comme mécaniquement, je sens mon plaisir monter et je jouis dans une violence et une souffrance inconnues. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits, et La remercier. Je suis au comble du bonheur. Tout cela pour cela! Je resigne sans aucun doute.
« Tu m'as fait passer trois jours de folie. J'ai failli m'y perdre je dois te l'avouer. Isabelle est vraiment folle et c'était chouette de la voir s'exprimer sur toi. Heureusement je sens une affection grandissante pour toi, ce qui a sauvé tes oreilles qu'Isabelle voulait te couper. Je veux te marquer, pas t'estropier. Quoique pour tes couilles, n'espère pas pouvoir t'en resservir. Je suis même surprise que tu aies eu du sperme à me remplir. Allonge-toi, que je me vide dans ta bouche et qu'à ton tour tu me fasses jouir de ta langue, de ton souffle coupé, de ta dévotion totale. »
Ses orgasmes m'ont comblé, lLa voir sur moi, sentir Son poids, c'est un tel bonheur. Quand enfin Elle est sevrée, Elle me fait mettre à genoux.
« Bien maintenant tu m'écoutes et tu ne dis plus un mot.
- Comme je te disais je pensais que 5 000 euros pour trois jours c'était bien payé. Au vu de ce qui s'est passé, c'est toi qui a fait une belle affaire. Mais moi une jolie découverte. Enfin plusieurs. Passons. Voici comment je vois les choses. A toi de me dire si tu es ok ou pas. Si tu ne l'es pas, pas de souci et tu ne me reverras plus jamais. Tu as un mois pour te faire une idée, qui sera cette fois définitive.
- Si dans un mois tu décides à t'engager comme esclave sexuel et de souffrance, tu m'appartiendras totalement. Je ferais de ta vie une enfer permanent sans aucune perspective. Je te prendrai tout ce que tu as, et ce dès les premiers mois. Tu n'auras plus rien du tout, même ta maison sur Paris.
- J'ai besoin de ton argent, car du coup j'ai envie de m'acheter une sorte de manoir près de chez moi, j'y serai magnifiquement, et il me faut ton argent. Et surtout l'assurance que je puisse vivre très luxueusement jusqu'à la fin de mes jours.
- En retour mon seul engagement est de t'exploiter, te détruire et te supplicier. Mais tu dois savoir que le jour où je serai fatigué, je te mets à la rue, dans rien, juste une tenue décente. Cela peut arriver dans un an, dix ans, ou peut être deux mois.
- C'est quelque chose sur laquelle tu n'as aucune prise, puisque de toute façon tu ne seras là que pour souffrir. Mais sans doute me servir aussi.
Voilà les termes du contrat, tellement déséquilibré. Je ne puis réfléchir, et de toute façon je n'ai rien à dire. Déesse se caresse une dernière fois, c'est vrai qu'elle a besoin de jouir plus de 10 fois par jour, c'est une source de désir et d'excitation folle.
Lorsque la porte se ferme, je m'endors dans même bouger, me sentant encore plus seul qu'avant.